C’est dans ce Contexte qu’aux neuf mois de bébé (juin 2021), une âmie chère à mon cœur me fait part d’une journée Silence qu’elle coanime prochainement…
Tout coïncide : mon chéri est disponible pour les enfants, je n’ai plus qu’à prendre soin de moi ! Ravie de voir les jours s’égrainer jusqu’à ce dimanche de juin. Et… nous y sommes !
Je me réveille dans la joie d’avoir devant moi cette journée toute entière à moi, sans aucune sollicitation extérieure. Le silence, le vide, la joie d’être simplement moi avec moi dans un groupe bienveillant. Le cadre de la journée est propice au silence, vraiment agréable. Maison individuelle entourée de verdure, quelques maisons alentour, une terrasse magnifique et un espace intérieur cocoon et lumineux.
Présentation succincte de chacune des personnes présentes. Des questions ? Non… Ah si ! Le repas, ensemble ou à l’envi ? Les animateurs indiquent être les garants du temps… comme des pratiques… ?? Une première alerte, mon cerveau ne comprend pas. Nous verrons au fil de la journée, ok, passons.
Je m’installe, ravie, radieuse.
Je suis si généreuse avec moi 😊 (c’est mon affirmation Toobee depuis quelques jours maintenant 😉 !) … si généreuse de m’offrir ce rien, ce vide, cette liberté totale que rien ne viendra perturber ! Gratitude !
La cloche retentit, indiquant le début de ce silence tant attendu : extase !!
Et là, mon amie, animatrice de la journée, se met à parler. Tout s’emballe à l’intérieur de moi. Elle nous invite à la suivre dans un nettoyage, une douche énergétique du corps. On se lève… « mais NON… » Et ses mots cognent dans ma tête, dans toutes mes cellules, ils cognent de plus en plus, ils sont forts, si forts pour moi qu’ils me heurtent. Ils heurtent ma soif intense de silence. Plus ce corps que l’on doit mouvoir, tapoter, stimuler. Quelle violence pour moi, pour ce corps, pour l’être tout entier que je suis à cet instant. J’en ai la nausée, je ne peux plus. Je veux juste que l’on me laisse en paix, que l’on respecte mon besoin de vide, de rien, de silence et d’absence totale de sollicitation extérieure. Je me sens meurtrie au plus profond de mes cellules. Je prends mes affaires et quitte le cercle, sors par la baie vitrée grande ouverte.
La terrasse est magnifique, je m’éloigne le plus possible du groupe, m’approche de la rambarde, pose mon tapis de yoga, mes coussins, mon plaid… La nature, les oiseaux… Je tente de me récupérer. C’est un tsunami émotionnel à l’intérieur de moi du fait de ce viol-lent. Le mot est fort et pourtant c’est vraiment celui qui m’est venu au moment. Je me suis sentie littéralement intrusée, contrainte de recevoir l’opposé de ce que j’étais venue chercher ce jour. Les mots là où le silence devait être d’Or. Mettre en mouvement mon corps là où il ne demandait que la quiétude et l’immobilité, juste se poser sans action et encore moins imposée. Le tapoter, le stimuler là où la douceur et la bienveillance devaient s’installer plus profondément en moi.
J’ai ressenti là, sur cette terrasse, combien nombre de sollicitations de la vie ces derniers mois, ces dernières années m’avaient heurtée, combien je m’étais fait violence à les suivre alors que tout mon être rêvait simplement d’être là, en paix. Mon corps crie, mon cœur crie, mon âme traduit enfin ce que je ne parvenais à clairement saisir :
mon vital besoin de tranquillité,
mon non à poser pour garantir mes limites et me respecter pleinement,
combien les injonctions agissaient sur moi parfois telles des injections (comme ce lapsus vient à moi au moment du partage en binôme de fin de journée)
combien le FAIRE à tout prix anéantit mon ETRE…
Je comprends que je suis en train de toucher une blessure de l’âme profonde. Cette blessure arrive après toutes les prises de conscience, déjà tellement éprouvées ces dernières semaines !
Alors je comprends que tout ceci est un cadeau et que je suis là pour aller encore plus loin que ce que j’ai découvert et compris ces derniers temps. Ma renaissance a besoin de ceci pour advenir complètement.
Alors je me mets au travail ֎ ! Je vais chercher mes émotionnelles, mes six synergies d’huiles essentielles bénies qui vont soutenir mon process ces prochaines heures.
Pour toutes ces fois où j’ai dit Oui alors que ça criait Non à l’intérieur.
Pour toutes ces fois où j’ai agi là où je souhaitais seulement être présente à ce qui est.
Pour toutes ces fois où je suis allée au-delà de mes limites physiques, émotionnelles.
Pour toutes ces fois où l’autre m’a imposé ses choix, ses mots, sa façon de voir et de faire.
Pour toutes ces fois où mon intégrité physique, émotionnelle, énergétique a été bafouée.
Pour toutes ces fois où je me suis soumise alors que je suis souveraine.
Je démarre avec Forgive, la synergie du Renouveau, du pardon, celle qui accompagne les colères, les culpabilités. Ça cogne, ça bouge à l’intérieur. Je l’ai appliquée sur mes poignets, l’ai respirée profondément et en conscience plusieurs fois puis l’ai appliquée sur mon plexus solaire.
Seule face à moi-m’aime, le groupe juste en bruit de fond derrière moi, je plonge, j’y vais, je laisse remonter ce qui se présente, j’accueille le process, je suis venue libérer du lourd 😉 !! Le chemin venait d’être dégagé les semaines précédentes pour que je puisse en conscience, moi avec moi, en toute autonomie, en toute liberté, aller à la rencontre de cette blessure profonde.
Sans heure, je suis le cours naturel de ce qui se présente et, ce qui semble être une vingtaine de minutes plus tard, je poursuis avec Peace, la synergie Rassurante, celle qui vient mettre du baume au cœur, qui apaise et rassure, parfois termine de libérer l’émotion ou les résidus émotionnels avant d’installer cette paix intérieure. Et c’est là que je suis emportée plus loin. Je ne suis pas simplement en train de réparer mes blessures de ce fonctionnement admis de répondre sans relâche aux sollicitations extérieures qui étouffent souvent mon Yin, mon féminin, mon êtreté… Je réalise que je touche à quelque chose de plus profond encore liée à mon incarnation, à l’incarnation de chacun en fait.
Cette plénitude, cette complétude de l’âme et du vivant se voient contraintes pour toute cette vie, pour tout ce système de vie qui nous est imposé et qu’en réalité on s’impose à soi-même. Tous ces carcans culturels, éducatifs, toute cette matérialité qui enferment, étriquent notre grandeur d’être. Ce que j’ai supporté pendant longtemps, ce que j’ai admis comme ma réalité depuis 45 ans et assurément sur d’autres lignes du temps ne font plus sens du tout avec la personne que je suis aujourd’hui, avec la conscience et les perceptions que j’ai du monde aujourd’hui. Il ne peut plus du tout en être de même pour moi. Je grandis avec Terra Gaïa, Terra Mama 😊. Nous changeons de dimension, nous instaurons ce nouveau paradigme de l’ère du Verseau. J’ai demandé cette Nouvelle Naissance, cette Renaissance et elle ne peut que passer par des abandons, des lâchers de tout ce qui encombre mes corps (mental, physique, émotionnel, énergétique, spirituel).
Mon âme a souffert de tout ce qui l’a éloignée de la joie, de l’amour, de l’abondance, de la santé parfaite, de la plénitude, la complétude qu’elle est.
Il fallait ce chemin pour le réaliser. Gratitude !
J’ai été au service en me perdant, en m’abandonnant aux diktats, à autrui. J’ai donné, je me suis donnée… Servez-vous…
Servez-vous a été mon message inconscient de toutes ces années. Voyez comme ma lumière brille. Aller tiens un peu pour toi, un peu plus pour toi, beaucoup pour toi, tout pour toi… et plus rien pour moi. La vie m’avait fait croire toute petite au manque, aux carences. Alors toute petite, en toute innocence, j’ai commencé à donner, et encore, et encore. J’ai appris à me taire, à me faire toute petite. J’ai aussi appris à me mettre en avant, mais pas pour moi, pour l’autre… pour combler, réparer, guérir l’autre. C’est devenu ma façon d’être en relation. C’est devenu mon activité. J’ai oublié que je pouvais recevoir, ou plutôt je me suis détournée de ce que je pouvais recevoir car s’était inscrit en moi que recevoir souffrait assurément de contrepartie. Ou que recevoir pouvait n’être pas si bon. On reçoit certes des cadeaux, des compliments. Sont-ils toujours donnés avec le cœur ? On reçoit aussi les projections, les injonctions, les « poubelles » d’autrui. Alors au fil du temps, on se ferme au recevoir et on laisse le flot libre à ce que l’on donne de soi, par service, par bonté, jusqu’à le faire par habitude. Et on s’épuise, on en arrive à ne plus poser ses limites, on se vide de toute substance. On survit en souvenir de toute cette plénitude et complétude initiale, jusqu’au TILT !! Merci…
C’est Console, la synergie du Réconfort qui s’applique alors. Elle vient soulager les tristesses, les chagrins de tout ce que l’on a expérimenté parce que l’on a oublié au fil des expériences dans la matière, dans cette vie, QUI ON EST vraiment, cette essence sacrée, complète et puissante. A ce moment-là, je ressens l’envie de m’allonger sur mon tapis de yoga. La bruine reste confortable et je réalise en basculant ainsi que mon regard n’est plus contraint par la balustrade… Celle-ci masquait ma vue et m’obligeait à lever les yeux vers le ciel pour profiter du paysage autrement qu’à travers les barreaux blancs, certes stylisés mais barreaux quand même.
Je m’autorise alors à vraiment sortir de mon carcan, ma toile, celle derrière laquelle je m’étais posée somme tout librement… Comme quoi… Et là le ciel tout entier s’offre à moi. Je me félicite de sortir de mon regard étriqué et de me rejoindre en tout grand, dans cette immensité céleste. Une véritable allégorie se déploie devant moi, en moi…
Quel process merveilleux ! Quel process divin ! Au-delà du ravissement de ce qui est en train de se jouer et des prises de conscience riches et éclairantes pour mon chemin de renaissance, je savoure la montée de la joie en moi, de tout ce mouvement qui s’inscrit et se mobilise dans chacune de mes cellules.
Viens le tour de Cheer, la synergie Exaltante… énorme… elle pétille tellement en moi chaque fois. Les libérations, les réparations s’achèvent ! Vive la préparation du chemin qui s’ouvre de nouveau. Mon corps ne résiste pas au mouvement. C’est parti pour un training renforcement musculaire, abdos 😀 !! Je kiffe tellement cette liberté d’être moi, simplement moi avec moi-m’aime.
Le groupe en fond… que je suis bien ici ❤
Midi sonne au clochet. Je réalise que j’ai globalement et intuitivement enchaîné les huiles tous les quinze-vingt minutes comme escompté. Tout est parfait : JUBILATION !!
Je touche alors la question du féminin/masculin, du Yin/Yang. Comment être dans une action alignée si je n’ai pas l’espace d’être, si je n’ai pas l’espace de me laisser vivre librement, intimement, de connecter mon espace intérieur sans sollicitation extérieure, sans injonction. Juste me rencontrer, libérée de toutes mes chaînes des années précédentes, voire de l’incarnation tout court. La question du comment revient davantage que le pourquoi ! Comment jouir pleinement de cette incarnation, de cet être au monde tout en respectant ma lumière, ma liberté d’être et de fait tout ce qui m’entoure. Le respect et la bienveillance, l’amour de soi ne peuvent que se refléter sur le monde et les autres.
C’est de là que je vois mon service désormais. Je n’ai plus personne à sauver, plus personne à combler, plus personne à réparer. Je n’ai plus à FAIRE. Je n’ai plus à me SOUMETTRE… être sous le maître… celui qui s’impose comme tel… J’ai juste à ETRE, là où la vie m’invite pour manifester qui je suis. C’est de ce point-là 5.0, que je renais aujourd’hui <3<3<3
Me laisser inspirer, être inspirée pour AGIR à partir de là… Mes actions ont du sens que si elles sont alignées à mon être, que si elles émanent de mon féminin aligné. J’ai ce désir de me relever, de retrouver cet alignement Terre-Ciel comme pour mieux me laisser inspirer par ma source !
Et ô synchronicité sublime, c’est Passion, la synergie inspirante de doTERRA qui s’invite sur mes poignets, mon plexus. Je jubile de nouveau de faire l’expérience de cette fluidité, de ce corps à cœur avec le grand tout, la source… d’où cette absolue nécessité du Silence en moi et autour de moi pour toucher cette ESSENCE-CIEL 😊 !
Je ferai fi de la sixième synergie Motivate aujourd’hui. Besoin de rester dans le calme de tout ce qui s’est posé là en moi. Je sens cependant que la seule inspiration ne suffit… l’Action posée soutient la manifestation. Il n’est seulement pas l’heure. Je sors régénérée grâce au soutien de mes huiles, elles ont tant accompagné ces mises en lumière. Je suis prête à m’ouvrir à la suite de la journée et voir comment j’y réagis.
Je rejoins le groupe sur le temps du repas en silence. Quelle joie !! Tout est calme à l’intérieur de moi… Je savoure ce moment de partage silencieux et de connexion à soi bienheureuse.
Je participe joyeusement à la pratique de la marche en conscience après le déjeuner. Marche ralentie qui me permet de nourrir et mon féminin et mon masculin et mon enfant intérieur. Je joue avec les dalles, je monte les marches, je vois l’insecte voler d’un brin d’herbe à un autre. L’équilibre est trouvé.
Je fais de nouveau abstraction des mots… et me lance dans la respiration alternée, guidée. J’aime cette respiration que je pratique déjà depuis quelques années, je m’invite donc moi-même à suivre le flow… et de nouveau la contrainte me crispe un peu… car cette respiration je la pratique en 4.16.8. Et le rythme proposé 3.3.6 ne me sied pas du tout, je prends parti d’en rire intérieurement et rapidement, avant même la proposition je décale en 4.4.8. Au bout d’un moment je m’ennuie et décide d’y ajouter les yeux. Je me joue de la contrainte, de la sollicitation en la détournant, l’ajustant à ma justesse, mon envie, mon étincelle du moment.
Puis une méditation guidée suit. Comment ai-je pu ne pas intégrer que tous ces temps feraient partie de la journée ? Comment ai-je pu faire fi de cette info essentielle ? Tellement dans ce besoin impérieux de silence, tellement inscrite dans cette joie de cette pause absolue que je n’ai pu voir ce qui viendrait contrarier l’idée de ce qui m’attendait.
Ma grande-moi sait mieux que ma petite-moi ce qui est juste et bon pour mon chemin d’ascension. Elle m’emmène toujours au meilleur endroit, vers la meilleure expérience.
Mais là je craque… des mots, des mots, des mots… visualiser, imaginer, ressentir… ma liberté, mon envie de cœur et de corps est de nouveau mise à mal version sommet de la plus haute montagne ! Je vais quitter, m’extraire de nouveau. Mes limites sont franchies, je me sens de nouveau emportée à contre-courant. Soit je quitte, soit je fais l’expérience de me détourner de la situation in vivo… La vie amènera assurément de nouveau des sollicitations à contre-courant, sans réels échappatoires possibles. Et si j’expérimentais ?!
Une seule solution s’offre à moi, rentrer davantage encore à l’intérieur de moi pour me soustraire à l’extérieur. Juste être dans ma respiration… mais ignorer les mots, la guidance ne suffit pas. C’est trop fort, trop rythmé. Il va me falloir moi-même jouer fort et en rythme. Alors j’y vais ! Je me crée un chemin pour aller faire danser mes cellules. Et ça marche ! Je les allume les unes après les autres sur mon passage. Elles me sourient et se dandinent en retour. Une fois notre danse terminée, je les enlace toutes à bras-le-corps dans un sentiment de gratitude infinie. On a fait tellement la fête ensemble que la fatigue heureuse me gagne !
Et c’est au tour des « étirements et mouvements corporels libres durant la prochaine demi-heure »… Euh, non, désolée c’est sans moi. Tout le monde se lève… et je m’enroule dans mon plaid déjà à moitié endormie. Je ne ferai pas cette violence à mon corps. Je l’aime, je le respecte, je l’écoute. Bonheur !! Je suis définitivement généreuse avec moi 😊. Je souris quand j’entends une puis deux personnes s’allonger sur leurs tapis près de moi quelques minutes plus tard. Je ne perçois aucun mouvement… elles doivent avoir fait ce choix également, authentique. Peut-être même ai-je permis cette autorisation ? Va savoir…
Notre journée touche à sa fin. Les échanges la concernant se passent en binôme. Nous levons le silence à demi-mots les premiers instants. Le dialogue intérieur laisse la place doucement au partage d’expérience. Nous nous sommes bien choisies avec ma binôme, pas de hasard, merci 😉
Bilan… Comme bien souvent, la vie m’aide à grandir souvent là où je ne l’attends pas. Elle me montre également ô combien j’ai déjà tant grandi, merci ! Merci à chacun et chacune de m’avoir permis de goûter entièrement à ma souveraineté durant cette journée. J’ai expérimenté une énergie Yang parfaitement alignée à mon retour. Tâches ménagères et cuisine jamais autant appréciées 😀 !! Dans une énergie de Feu, merci !
Durant cette journée Silence, j’ai ouvert mon cœur à moi-même et dès le lendemain j’ai reçu en tout grand !
Epilogue
Mon chéri est un génie ! Tu connais ce fonctionnement masculin qui transforme toute donnée en SOLUTION… même là où il n’y a pas de PROBLEME 😀 ??? Mon chéri il a ce don x10000 !!
Bébé est avec nous depuis dix mois maintenant. Le confinement 2020, la période science fictive bien réelle que nous vivons depuis font que notre déménagement a été repoussé d’un an puis sûrement d’un de plus. Nous avons beau libérer de la place, à un moment donné nous n’avons pu pousser les murs 😊 !
J’avance ma Naissance, ma nouvelle mise au monde, alignée avec la femme que je suis aujourd’hui.
Et autant je me vois parfaitement allier carrière professionnelle et vie de famille, sans faire le choix de minimiser, prioriser, renoncer à certains aspects de l’une ou de l’autre, c’est-à-dire en embrassant le TOUT comme parties intégrantes et intégrales de qui JE SUIS et où JE VAIS/RETOURNE…
Autant j’ai ce besoin de délimiter parfois mes espaces pour mieux plonger dans chacun. Mon chéri, ce génie, m’a invitée à structurer mes espaces. Il m’a trouvé mon espace perso/pro en dehors de la maison !! Waouh !! Pas celui où j’exerce… non, non, celui où je crée, où je m’initie, où j’innove, où je ME crée !!
Et quel espace !! Une vue imprenable sur la végétation, espace lumineux, en expansion !! Et tu sais quoi, ce lieu m’est offert, donné avec un cœur grand comme çaaaa, par une belle âme grande comme çaaaa !!
Le mieux c’est que depuis qu’il existe pour moi ce lieu, je parviens même de nouveau à me créer chez moi ! Paradoxe ? Non, de nouveau juste une embrassade en tout grand.
Je suis ici, je suis là-bas, je suis partout où c’est bon pour moi 😊 ! JUIN 2021
Tu découvres mes nouvelles propositions d’accompagnement neuf mois plus tard… Une nouvelle gestation plus tard… et laquelle !! Bienvenu.e dans l’Âme agie dans ta Vie !!