Chronique : La Liberté amoureuse d’être Soi…
Retrouvez semaine après semaine, mes découvertes, mes prises de conscience, mes aménagements tissés au fil d’une expérience riche et ordinaire.
Près de deux ans déjà depuis le début de cette aventure…
Dès que j’ai commencé à éprouver la richesse de ce défi, au-delà des apparences, je n’ai pu m’empêcher de prendre quelques notes, au fil des semaines. J’avais partagé les premiers mois de cette expérience sur ma page facebook l’an passé. Je choisis aujourd’hui de vous la transmettre enrichie des nouvelles découvertes et prises de conscience faites depuis !
Tout commence en septembre 2016, et certainement même bien avant, mais cela se matérialise à ce moment-là. Ce mois de septembre est la scène de nombreux bouleversements, chahutements mettant beaucoup d’entre nous dans un certain inconfort… Puissant portail énergétique auquel chacun réagit à sa manière. Il m’incite, comme beaucoup, à lâcher… lâcher… lâcher toutes sortes d’attaches. Je lâche tant que je décide de vendre ma voiture et circule depuis… à vélo !
Serait-ce l’air du temps, comme le formule Frédérique Larcher, dans la revue Rêves de Femmes, n°43 de cet automne-là ? Je l’ai reçu comme un doux clin d’œil…
L’automne… cette saison qui déleste et ramène vers soi, vers l’essentiel, vers l’essence à l’image de la sève qui quitte peu à peu les branches pour rejoindre en profondeur les racines.
Cette décision m’apparaît comme une évidence mais au moment, je la prends sans le partager aussitôt à mon entourage. Ce n’est pas que je crains les obstacles liés à ce choix. Non. Je doute seulement des réactions suscitées autour de moi. Je n’ai nul besoin des projections et peurs d’autrui pour faire ce qui me semble juste. Je le partage néanmoins avec une amie, peu de temps avant la vente. Je sais qu’elle accueillera ma décision sans douter, elle-même circulant à vélo régulièrement.
Nous sommes vendredi, ma décision est prise même si le grand saut me titille encore. L’achat du vélo se précise, j’avance d’un pas, recule de deux… Aller, aller, guidée et poussée un peu, c’est parti… La vie fait que tout se simplifie très vite. Waouh, je vais vraiment le faire ! Dès le lendemain matin, j’anticipe l’absence de voiture prévue en début de semaine suivante. Je me mets au vert, aussitôt, comme pour engrammer cette nouvelle vie qui se profile. Je pars travailler à vélo. Le soleil brille, la température est douce. C’est en robe d’été, les mèches au vent que je pédale avec délice vers mon lieu d’exercice. Je suis en joie !
Je ne peux plus reculer maintenant, la vie m’invite de toute manière à poursuivre ce choix. Le lundi suivant, je me rends dans un garage d’achat-revente, mon estimation est bien évidemment en-deçà de mes espérances de compensation du lâcher-prise engagé. Mais j’accepte… enfin, j’accueille plutôt, dans un premier temps 😉 !
Partagez, aimez, suivez ce blog (bouton « suivre ») et recevez chaque mardi et chaque jeudi un nouvel article de cette chronique : La liberté amoureuse d’être Soi
Votre commentaire